
Parmi les hommes, le caporal Enrique Chavez, qui vient de passer cinq jours en permission au pays. Cinq jours durant lesquels il y a dû faire face aux difficultés familiales tout en faisant abstraction de la guerre, des attentats et se dire que malgré tout, ça a un sens d'être là-bas.
Aujourd'hui, à l'heure où la guerre se vit derrière des écrans plats, elle ne change que peu de choses au quotidien, à moins d'avoir un proche parti au combat. Et si... finalement... Une passerelle, un pont se formait entre les deux...
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